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Japondesarts

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  • Présentation d'artistes contemporains et anciens du Japon.Photographes,peintres,estampes.Kimono ancien et créations inspirées des kimonos traditionnels.Passion du Japon et des arts . 日本の文化の芸術の情熱。
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16 janvier 2024

OWARAKAZEnoBON

Fillette temple

Fille dos temple-7

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10 mars 2023

Takahashi Matsuri , victime emblematique de la violence au travail

Watashi, Teiji De Kaerimasu (私、定時で帰ります), or I Go Home When Work’s Over, starring popular actress Yoshitaka Yuriko.

 

Takahashi Matsuri (高橋まつり) a commencé à travailler chez Dentsu en avril 2015. Neuf mois plus tard, elle s'est suicidée. Sa chute tragique a suscité des appels à la réforme. Mais cela a également suscité des critiques selon lesquelles ni le gouvernement ni les entreprises japonaises n'en font assez pour endiguer la vague d'abus.

En 2015, après un emploi à temps partiel chez Weekly Asahi, Takahashi a commencé son premier grand emploi en entreprise chez Dentsu Communications. Fondée en 1907 sous le nom de Japan Advertising (日本広告; Nippon Koukoku), Dentsu est la plus grande agence de publicité du Japon, générant quatre fois les revenus de son concurrent le plus proche. C'était, pour dire le moins, un concert de prune pour l'ambitieux Takahashi.

Malheureusement, elle a vite découvert que Dentsu avait un côté sombre. En quelques mois, le joueur de 24 ans faisait des heures supplémentaires massives. Elle a relaté son parcours sur son compte Twitter, que sa mère a gardé intact.

Le plus épouvantable est que ce n'était pas le premier cas de suicide très médiatisé à Dentsu. En fait, c'est cet incident précédent qui a attiré l'attention du public sur le problème du surmenage.

En 1991, Oshima Ichiro (大嶋一郎) – 24 ans, tout comme Takahashi – s'est pendu chez lui. Selon le récit de sa famille, Oshima a été initialement informé qu'il pouvait s'attendre à faire entre 60 et 80 heures supplémentaires par mois. En réalité, dit sa famille, il travaillait tellement qu'il rentrait souvent chez lui, pour faire demi-tour deux heures plus tard et reprendre le travail. À un moment donné, selon les rapports, il effectuait 147 heures supplémentaires en un seul mois - ou, en d'autres termes, des semaines de travail de 76 heures.

 

105 heures supplémentaires par mois

La mort de Takahashi a déclenché une enquête du ministère japonais du Travail sur la vie professionnelle chez Dentsu. La jeune nouvelle employée était-elle vraiment aussi débordée qu'elle l'affirmait sur Twitter ?

Il s'avère que la situation actuelle était tout aussi mauvaise que l'a dit Takahashi. Chez Dentsu, en vertu d'un accord de travail, les heures supplémentaires dans un mois sont censées plafonner à 70 heures. Les heures ont été saisies par les travailleurs dans des feuilles de calcul sous forme d'auto-évaluation, puis envoyées aux responsables, qui les ont approuvées. Les rapports de Takahashi lui ont fait passer 69,9 heures en octobre et 69,5 heures en novembre – des chiffres étrangement juste en deçà du plafond.

Mais un avocat de la famille de Takahashi a déclaré que le système de portail électronique de Dentsu, qui obligeait les employés à glisser leur badge, racontait une histoire bien différente. Les données ont montré que le temps de bureau de Takahashi en un seul mois totalisait 130 heures supplémentaires, soit 60 bonnes heures au-delà du maximum établi par Dentsu. Une enquête plus approfondie a révélé que les responsables de Dentsu ont fait pression sur les employés pour qu'ils falsifient leurs heures sur les feuilles de calcul qu'ils ont soumises afin de maintenir le temps officiellement déclaré en dessous de 70 heures.

 

 

10 mars 2023

Watashi, Teiji De Kaerimasu

Depuis les années 1990, au Japon, les conséquences tra- giques du surtravail ont suscité une mobilisation sociale importante autour de la notion de karōshi, conduisant progressivement le minis- tère de la Santé et du Travail à reconnaître les suicides liés au travail.

Le suicide comme karoshi(過労死)

ou l’overdose de travail.

Le cynisme et l’indifférence des directions est d’autant plus odieux que les victimes de karōshi ou karōjisatsu sont souvent les employés les plus dévoués et les plus compétents. 

Sept aspects de ce déni par les entreprises : comme Toyota et McDonald, la grande majorité des entreprises japonaises  n’hésitent pas à nier l’existence elle-même des heures supplémentaires ; attribuent de manière informelle des tâches supplémentaires au contrat initial manipulent les catégories d’emploi fixent des quotas très élevés et utilisent des critères d’évaluation vagues ; affirment que les primes pour les heures supplémentaires sont incluses dans le salaire de base ou les indemnités du management ; réduisent volontairement le personnel en employant des travailleurs en contrat précaire.Les différences entre les travailleurs européens et japonais diminuent constamment au fur et à mesure que s’estompe l’emploi à vie.

 

 

 

Le cas d’une jeune employée de l’agence de publicité Dentsu, dont le suicide a fait l’objet d’une large couverture médiatique puis d’un long procès avant d’être reconnu, démontre de manière que le prisme de la dépression tend à médicaliser le cadre analytique jusqu’à négliger les mesures de préven- tion non médicales, soit les facteurs déjà pointés par Kawahito à la fin des années 1990 ou Weathers et North plus récemment, soit les heures supplémentaires en quantité pléthorique, l’accumulation des tâches et des responsabilités, etc., autrement dit les facteurs spécifiques à l’organisation du travail.

Kawahito (1998) présentait ainsi des cas de travailleurs qui, même après être rentrés chez eux vers deux heures du matin, se voyaient contraints de retourner travailler avant huit heures du matin plusieurs jours de suite, avant d’enchaîner deux jours de congés compensatoires qu’ils passaient à dormir et ainsi de suite. À ce régime-là de surtravail, que ce soit de karōshi ou de karōjisatsu, « mourir à la tâche » (shinu made hataraku) n’est autre que la forme extrême de la « servitude volontaire » (Dejours, 2008 et Deranty, 2010, d’après Marx et La Boétie) ou de ce que Michael Burawoy (1982) a nommé la « fabrique du consentement ». Ainsi, pour éviter de comptabiliser le surcroît d’engagement exigé du personnel d’encadrement, Toyota n’hésite pas à désigner comme des tâches « volontaires » la parti- cipation aux « cercles de qualité », pourtant au cœur du modèle de produc- tion toyotiste (Jobin, 2008, 2009ab). Selon la même logique, mais par un procédé encore plus pervers, McDonald arrive à verser aux responsables de fast-food pratiquement le même salaire que celui de leurs équipiers (Weathers and North, 2009).

 

Takahashi MatsuriNeuf mois après avoir commencé à travailler pour la société de publicité japonaise Dentsu, Takahashi Matsuri a sauté vers la mort. Sa mort a déclenché une série de réformes - mais ce n'est toujours pas suffisant. Les gens se tordent moins les mains et discutent plutôt de la « réforme du travail »hatarakikaikaku)du pays, un ensemble de politiques mises en place par le gouvernement du Premier ministre .
xx
16 janvier 2023

Le japon des festivals le japon de toujours le japon intense

Resté culturellement intact:
l'union de l'ethnographie, de l'histoire et de la culture des traditions

Matsuri (fêtes japonaises), en plus de refléter
les anciennes croyances religieuses du pays, depeins richement les coutumes traditionnelles de son peuple, son mode de vie et le respect de la nature. Du grand nombre de festivals, événements annuels et arts de la scène toujours présents dans chaque région du Japon,de l'extreme nord a l'extreme sud .
Pour mieux comprendre les origines de la culture japonaise et les traditions
la mentalite de ce peuple.
Mais simplement lire n'est pas expérimenter.Ces fêtes sont des événements populaires au cours desquels les gens peuvent participer, en tant qu'interprète ou spectateur.

 

PapierMat_shop_denoiseon1_18

 

 

15 janvier 2023

Kumano-Kodo chemins millenaires

Mandala-_Pilgrims_at_Nachi_Shrine,_Muromachi,_Honolulu_Museum_of_Art copie

Pelerinage de l'empereur retire Gotoba , XVeme siecle, universite d'Honolulu.

 

 

En dépit de son caractère ascétique,le pelerinage de Kumano fut l'objet d'un engouement presque frénétique de la part des empereurs retirés pendant la périodeeponyme, insei (1086-1221). Le quatrième pèlerinage impérial de l'empereur retiré Gotoba, effectué en 1201 et chronique par Fujiwara Teika dans son journal Meigetsuki. La minutie des descriptions, le regard quelque peu éloigné que porte Teika sur le voyage vers Kumano du fait de sa fonction de préposé aux offrandes impériales font de ce document une des sources majeures pour appréhender cette importante pratique religieuse, à cheval entre la fin de l'Époque Ancienne et le début du Moyen Âge.

 

À l'âge de vingt-deux ans, la dixième lune de la première année de l'ère Kennin (1201), l'empereur retiré Gotoba  (1180-1239 ; 1198-1221) part pour la quatrième fois en pèlerinage pour les trois sanctuaires de Kumano, Kumano-sanzan , situés dans la partie méridionale de la péninsule de Kii (actuelle Wakayama) Il s'agit de Shingû  à l'embouchure de ce fleuve ; et de Nachi  plus au sud, à une dizaine de kilomètres, quelque peu à l'intérieur des terres. Kumano, depuis le VIIe siècle et tout au long de la période de Heian (794-1185), est un lieu de pratiques ascétiques de nombreux religieux et thaumaturges qui, au terme de longues mortifications, ont la réputation de posséder des pouvoirs extraordinaires. C'est aussi l'un des creusets du syncrétisme shintô- bouddhique qui domine toute la pensée religieuse, à partir du XIe .

L'empereur est accompagné d'une  suite de hauts dignitaires et de courtisans, hommes d'armes, danseurs et musiciens, moines et religieux de tous rangs. Parmi eux, Fujiwara Teika .

Depuis la capitale, il faut vingt-deux jours de voyage, le passage d'une dizaine de cols — dont deux à plus de huit cents mètres d'altitude — et de six rivières, pour couvrir les sept cents kilomètres du chemin. Une fois rendus à l'oratoire de Kubotsu , à Ôsaka, véritable point de départ du pèlerinage, les pèlerins poursuivent leur route par la route de Ki  jusqu'à Tanabe, dans le district de Muro, en longeant la côte ouest de la péninsule de Kii. Ici, ils entrent en montagne et gagnent Hongû par le chemin de Nakahechi puis rejoignent Shingû et Nachi, avant de regagner Hongû pour prendre à nouveau la route de Nakahechi et de Ki en sens inverse.

 

kumano_dai

 

Les chemins de Shikoku sont parmi les plus populaires au Japon comme à l’étranger et il existe plusieurs publications en français sur ce chemin de plus de mille kilomètres dans la petite ile du sud du Japon.
 Un autre pèlerinage plus ancien (2000 ans, règne de l’empereur Sujin)  et dont les caractéristiques sont plus proches de Saint-Jacques de Compostelle  existe depuis aussi longtemps: Kumano-Kodo, littéralement le ‘’ vieux chemin de Kumano’’.
En haut de la longue côte orientale de la péninsule de Kii (140 km), qui s'étend du cap Shio et Kushimoto au sud à la presqu'île de Shima  au nord-est, une anse allongée s'ouvre sur la mer de Kumano , seuil de l'océan Pacifique.En 2003 ce pèlerinage est jumelé avec Compostelle et comme ce dernier ses voies sont multiples et son histoire suit l’évolution de la société japonaise. Il est cependant beaucoup moins fréquente et l`on peut faire de nombreux kilomètres sans rencontrer personne.

Carte de kumanokodo chemin imperial

 

 

L'engouement de tant de pèlerins aussi honorables valide l'authenticité et l'existence de la puissance magico-religieuse de Kumano. Ainsi, la pratique du pèlerinage à Kumano s'étendit rapidement à l'ensemble de la noblesse, aux classes moyennes puis aux gouverneurs de province, et plus tard au peuple, au point qu'on parlera du fourmillement des pèlerins vers Kumano . On évoque bien de faux dévots qui se rendent à Kumano par imitation, pour suivre le mouvementgénéral, témoignage du conformisme craintif de l'aristocratie face à l'absolutisme des empereurs retirés. Cependant, un simple mimétisme social ne peut expliquer la fréquence des pèlerinages des empereurs retirés ainsi que de nombreux dignitaires, les remises importantes de terres aux sanctuaires de Kumano et surtout, le choix d'un lieu d'accès aussi difficile.

Quatre-vingt un oratoires, sortes de bornes-relais sont disposées sur l'intégralité du chemin tous les trois ou quatre kilomètres. L'existence de ces ôji est l'une des grandes caractéristiques du pèlerinage à Kumano ; on ne trouve pas leur équivalent dans le cadre des pèlerinages au mont Kinbusen (ou Kinpusen) de Yoshino ni a Koyasan.

 

L'oratoire de Hosshin-mon marque une étape dans le déroulement du pèlerinage. Traditionnellement, ce lieu doté d'un portail sacré, torii , est considéré comme l'ultime seuil de la terre pure du bouddha Amida. Cette porte clôture un espace qui commence à Takijiri, où le pèlerin franchit un premier portail. De là, le mouvement qu'il amorce vers le sanctuaire de Hongû équivaut au

franchissement symbolique des neuf échelons du royaume d'Amida (kuhon-jôdo) où renaissent les hommes selon leur karma. Ainsi, ce principe abstrait et lointain de la terre pure, alourdi de la notion de rétribution, est projeté au cœur de la géographie de Kumano, sur la sente de Nakaheji, et le mouvement qu'effectue le pèlerin dans l'espace doit se lire comme la mise en scène de l'odyssée de l'âme vers les domaines mortifères après le trépas.

De plus, le nom de Hosshin-mon fait allusion à l'une des quatre portes existant dans les mandata du bouddhisme ésotérique Shingon du plan de la matrice et du plan du diamant, quatre portes signifiant la progression de l'ascète vers l'état de parfait éveil45.

Teika précise : « La grande majorité des gens a laissé sa trace à chaque oratoire », une pratique sans doute courante lors des pèlerinages. Le rouleau peint retraçant la vie du moine poète Saigyô le Saigyô monogatari emaki, représente ce dernier sur le chemin de Kumano le pinceau à la main, en train d'écrire sur l'enceinte de l'oratoire de Yagami .

 

En 2014 je marchait depuis plusieurs jours et c'est l'endroit dont je me souviens le plus precisement.Il y regne une atmosphere indicible.

 

 Une longue descente  mène au croisement avec le sentier Akagi-goe, qui lui se dirige vers Yunomine Onsen. Hosshinmon-oji se situe ~ 25 minutes de marche après.Il n’y a pas d’hébergement à Hosshinmon-oji. Plusieurs hébergements sont par contre disponibles à Hongu, Kawayu Onsen et Yunomine Onsen.

 

Poeme du Moine Saigyo a Hoshimon Ooji :

 

Au milieu des nuages, la terre pure de l'Ouest [du bouddha Amida] vers laquelle l'âme se dirige.

Ce passage abrupt de la sublime Loi [du bouddha], aujourd'hui même je lefranchis.

Désormais, je ne tomberai plus dans les six voies([inférieures de réincarnation)

(Mutsu no michi  rokudô : voie des enfers, des esprits faméliques, des animaux, des esprits guerriers ashura, des hommes et des dieux).

 

Vingt ans avant que Gotoba ne précipite ses troupes contre celles du Bakufu, dans la guerre fatale de l'ère Jôkyû (1221), le texte rédigé par Teika permet de s'insinuer dans l'intimité d'un exercice bien « rodé » de la période Insei, la croisée du rituel social et de l'ascèse personnelle. On le sait, même pratiqué dans la plus grande solitude, le pèlerinage reste un acte social, par la reconnaissance de certains lieux, d'un itinéraire, d'une théologie qui manifeste une conscience collective et cristallise les attentes de la société. Mais dans le cas de Kumano, on remarque combien le pèlerinage est une transposition de la société, de sa hiérarchie, de ses modes de vie et de ses coutumes. À ce titre, Moerman fait remarquer combien les conclusions de Turner (1978, p. 250), pour qui le pèlerinage est « un phénomène liminaire qui conjugue les caractéristiques de modestie, de sacralité, d'homogénéité et de camaraderie », ne s'appliquent pas aux pèlerinages impériaux à Kumano ; « l'inverse semble vrai — poursuit Moerman (1997, p. 350) — les pèlerinages à Kumano

servent renforcer plutôt qu'à dissoudre les distinctions sociales, ils ne représentent pas la négation du pouvoir et de la force, mais leur

articulation ».

BROTONS Arnaud, Kumano-môde no jissen to Kumano no hyôshô to no kakawari (Sur les liens entre la pratique du pèlerinage à Kumano et les représentations de Kumano), in Shûkyô minzoku kenkyû , vol. 10, Université d'Ôtani , Kyoto, 2000, pp. 93-113.

 

 

 

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4 juillet 2021

DekoTora les camions decores ... by Todd Antony

 

 

Todd Antony, photographe basé à

Todd Antony Photography

@toddantonyphotography

 

Londres, s’empare du phénomène pour dresser un portrait de cette culture hors du commun. « Dekotora » signifie littéralement « camions décorés » et le terme fait référence justement à cette pratique consistant à rajouter des éléments bling-bling flirtant avec l’esthétique kitsch à ces transports du quotidien.

Les dekotora eurent leur moment de gloire entre les années 1980 et 1990, encore aujourd’hui avec plus de 600 chauffeurs dans le pays ils fascinenent. Leur association, la Utamaro-Kai, récolte des fonds pour des œuvres de charité ou pour venir en aide aux victimes de Fukushima en 2011.

 

 

 

 

 

 

 

4 juillet 2021

Les camioneurs artistes du Japon DEKATORA

 

GEO REPORTAGE

 

 

 

 

4 juillet 2021

Julie Glassberg Ichiban boshi ( blues)

 

男の旅は一人旅
女の道は帰り道
しょせん通わぬ道だけど
惚れたはれたが 交差点
一番星 空から
俺の心を見てるだろう
もののはずみで 生れつき
もののはずみで 生きてきた
そんなセリフの裏にある
心のからくり 落し穴
一番星 出る頃は
俺の心に波が立つ
ガキの頃なら 願かける
そんな習慣(ならい)もあったけど
今じゃ行く末見るような
星の流れの はかなさよ
一番星 消えるたび
俺の心が寒くなる
一番星 消えるたび
俺の心が寒くなる
Le Dekotora ou Decotora (デコトラ dekotora), signifiant « Camion décoré », est un terme qui désigne un style de camion visuellement modifié que l'on peut rencontrer au Japon. Peinture extravagante et néon sont couramment employés.
la photographe Julie Glassberg s’est passionnée pour une étonnante pratique japonaise : parer des poids lourds de mille feux.
La chanson me rapelle Sanyablues que je chante toujours au Japon meme si ca casse (forcement) l'ambiance festive attendue d'un gaijin....mais c est toujours un resultat interessant et je prefere etre adore et/ou deteste que d etre le clown de service.
La version google en attendant la mienne:
Le voyage d'un homme est un voyage en solo
Le chemin de la femme est le chemin du retour
C'est une route qui ne passe pas
J'en suis tombé amoureux, mais à l'intersection
Du premier ciel étoilé
Tu regardes mon coeur
Né avec l'élan des choses
J'ai vécu avec l'élan des choses
Derrière de telles lignes
Karakuri fosse du coeur
Quand la première étoile sort
Les vagues montent dans mon coeur
Si tu étais un enfant, fais un vœu
Il y avait une telle habitude
C'est comme voir la fin maintenant
Le flux des étoiles est fragile
Chaque fois que la première étoile disparaît
Mon coeur se refroidit
Chaque fois que la première étoile disparaît
Mon coeur se refroidit.
Google poete : Franponais exqui que ce Karakuri fosse du coeur...
Voila chere Julie Glassberg, ma proposition si vous l'accepter est de vous coacher pour ce prochain Karaoke.Bien sur il faudra que nous soyons au Japon .
Au pire je ferais une video pour vous.
J'ai beaucoup apprecie l'entretien a la MEP et me suis tellement reconnu.
7 février 2020

Haiku , maitre Seigetsu

http://www.seigetsu.org/s_t1/file/0000/000/000/180/18005_801.jpg

 

山里や雪間を急ぐ菜の青み

やまざとやゆきまをいそぐなのあおみ

Yamazato ya yukima o isoguna no aomi

À la fin du printemps, les villages de montagne se sont progressivement réchauffés, la lumière du soleil s'est épaissie et la neige accumulée a disparu à certains endroits. Seigetsu ressent de la joie a la vue de ces couleurs vives naissantes.
Le poete qui voyage tous les jours et se promène dans les zones rurales, peut voir le soulagement de l'hiver et l'arrivée du printemps.

"Hameaux et taches de neige fondues

La verdure s' y presse"

4 décembre 2019

YATAROGASA 弥太郎笠

Litteralement : ‘’L’ombrelle de Yataro’’.

En anglais :’’ Yakuza of Ina’’.

 

Yakuza of Ina fait partie d'une longue lignée de films sur le voyage du yakuza, Yataro. Le personnage de Yataro a été créé à partir de récits de Kan Shimozawa, l'auteur  de Zatoichi, et est apparu dans certains des premiers films muets de Shozo Makino, le fondateur légendaire du cinéma japonais. Yataro a ensuite été joué par Chiezo Kataoka dans une série de films de Hiroshi Inagaki dans les années 1930, et Raizo Ichikawa a repris le rôle dans une version de 1957 de Kazuo Mori. En 1960, Masahiro Makino a suivi les traces de son père Shozo avec ce film.

 

Yakuza of Ina commence par la scène toujours familière du ronin / yakuza / vagabond errant arrivant à un carrefour et balançant un objet pointeur en l'air (dans ce cas, le chapeau de yakuza en paille de Yataro) pour décider de la direction à prendre. Le destin pousse Yataro à rencontrer le gentil patron, Tora, et à lui établir une résidence semi-sensuelle avec la charmante fille de ce dernier, Yuki. Mais Yuki est préoccupée par le projet de son père, veuf, d'épouser une femme nommée Maki. Yuki sait que Maki n’est qu’un chercheur d’or avec le sournois Boss Daihachi pour le contraindre à quitter son territoire de jeu et ses activités d’exploitation forestière.

 

Yataro demande l'aide de son ami d'enfance, Kuwayama, aujourd'hui magistrat local, pour exposer la trahison et la romance secrète de Maki avec Daihachi. Après que Tora, humiliée, ait mis fin à sa relation avec Maki, Daihachi l’a fait taire. Ainsi, Yataro doit se venger et récupérer les sentiments de Yuki depuis que son ingérence a conduit à la mort de son père.

 

 

 

 

 

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